Le blog visuel de Marie-Andrée Côté

dimanche 30 novembre 2014

Teresita Fernandez


































Teresita Fernandez   
à la galerie Almine Rech Gallery du 14 novembre au 20 décembre 2014.

Teresita Fernandez puise dans les substances minérales de la terre et les matériaux industriels pour créer ses paysages, sous forme de sculptures-installations.
Entre abstraction et figuration, formes organiques et métalliques, cette artiste de Brooklyn (New York(, représentée à Paris par la galerie Almine Rech, explore les relations entre le naturel et l'artificiel, la présence et l'absence par des jeux de transparence avec les éléments, nuages, eau, feu,pierre ou arbres.
Une autre article sur Teresita Fernandez : Murmure visible


lundi 17 novembre 2014

Angela Glajcar










Angela GLAJCAR commente son œuvre personnelle en ces termes :

 « Mon intention est de créer des espaces qui se démarquent de notre environnement surchargé en stimuli sensoriels ». 
A propos d'une installation d'Angela GLAJCAR, Barbara AUER écrit : « Voici le lieu du calme, du refuge, de la contemplation. Loin de notre monde haut en couleurs, criard et consumériste, avec son déluge permanent d'excitations et de distractions qui vous tiraillent l'attention et l'esprit, nous vivons ici clarté, beauté, harmonie. Captivées par la présence physique de la sculpture, nos pensées s'orientent sans que nous le remarquions vers la question centrale de l'existence humaine, celle du devenir et de la mort. »

samedi 8 novembre 2014

TAKEUCHI Kouzo







TAKEUCHI Kouzo

Kozo Takeuchi, artiste Japonais à la production multiple. Il passe de la céramique utilitaire, aux vases et objets sculptures.

Son travail  est basé sur un principe d'accumulation d'une même forme, à partir d'une porcelaine moulée dans des tubes de section carrée et cassée arbitrairement avant cuisson. Les objets réalisés prennent des formes mi-futuristes, mi-nostalgiques des ruines Mayas.


samedi 1 novembre 2014

Polymorph de Jenny Sabin















Fabriqués à l’aide d’une imprimante 3D, 1300 modules de céramique s’imbriquent les uns dans les autres pour composer un volume retenu par des fils tendus à plusieurs mètres au-dessus du sol. L’Américaine s’intéresse aux relations qu’entretient l’architecture avec les mathématiques et les sciences, particulièrement la biologie. Le projet présenté analyse le passage entre le design numérique et sa matérialisation. Il montre un réseau de branchements directement inspiré du comportement cellulaire.