Le blog visuel de Marie-Andrée Côté

samedi 17 décembre 2016

Kim Dickey







Exposition de Kim Dickey "Words are leaves" au MCA, Denver (Octobre 7, 2016 – Janvier 22, 2017).

Kim Dickey a passé une grande partie de sa carrière à créer des objects foliaires et des installations immersives. Ces oeuvres, installées pour la première fois au MCA, illustrent comment la décoration peut devenir un objet et comment un objet peut devenir un environnement.

Source: cfiledaily, Musée d'art contemporain de Denvers

samedi 26 novembre 2016

Rowan Mersh







Dilplômé du très prestigieux Royal College of Art, Rowan Mersh aborde le textile de manière sculpturale.
Installations, costumes, bijoux, il explore les possiblités du tissu stretch de manière unique. À la fois sobre et complexe, son univers géométrique joue avec la lumière et les volumes. À découvrir!
Il assemble à la main les milliers de coquillages nécessaires à la réalisation de ses œuvres.
Des tableaux réalisés à partir de milliers de coquillages – Rowan Mersh

lundi 14 novembre 2016

Claudia Fontes









Claudia Fontes crée des sculptures en porcelaine percées de milliers de petites pores et qui décrivent des scènes de formes humanoïdes qui se font des câlins.
Claudia Fontes, artiste invitée à la Biennal de Venise 2017.

Source: La boite verte, infobae/Tendencias

dimanche 13 novembre 2016

Michelangelo Pistoletto














Mole Vanvitelliana of Ancona, Italy  - 2015

Photographies: Marie-Andrée Côté  - Ancona, Italie 2015

NÉ EN 1933 À BIELLA (ITALIE)
VIT ET TRAVAILLE À BIELLA


Membre éminent de l’Arte Povera, Michelangelo Pistoletto est l’auteur d’une œuvre traversée par la question du réel et de sa représentation, investigation qu’il mène à travers une grande diversité de médiums tels que la peinture, le théâtre, la photographie ou le cinéma.Depuis les années 1960, Michelangelo Pistoletto a exposé dans les plus prestigieuses institutions internationales  (du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles à la Nationalgalerie de Berlin en passant par Museum of Modern Art de San Francisco) ; il a été également l’un des artistes de l’exposition mythique d’Harald Szeemann « When attitudes become forms » (Berne, 1969). La cinquantième édition de la Biennale de Venise lui a décerné, en 2003, le Lion d’Or pour l’ensemble de son œuvre.

mardi 25 octobre 2016

Romain Crelier






"Romain Crelier, plasticien jurassien, a pris place dans l’abbatiale de Bellelay en Suisse en 2013 à l’occasion de l’exposition annuelle de la Fondation de l’Abbatiale de Bellelay (qui expose cette année le duo Haus am Gern). Son oeuvre remarquée Mise en abîme consiste en un grand récipient curviligne, haut de seulement quelques centimètre, dans lequel il a déversé de l’huile de moteur usagée. Cette dernière, répandue uniformément, est devenue un sombre miroir reflétant l’abbatiale."

jeudi 28 avril 2016

Marit Roland









Marit Roland, artiste d'origine norvégienne, travaille avec de grandes installations faites de papiers. Éphémères, elles s'adaptent et interrogent les lieux pour lesquels elles sont créées. Pour la quatorzième installation de sa série, des cônes de papier sont juxtaposés et rayonnent sur le thème du mouvement depuis un angle du Sørlandets Kunstmuseum à Kristiansand en Norvège.


mardi 26 avril 2016

Léopold L. Foulem







Symétrie/Asymétrie

L’exposition Symétrique/Asymétrique est le cinquante-quatrième solo de Léopold L. Foulem. Celui-ci se tiendra à la Galerie Luz du 9 mars au 2 avril 2016.
Cette série d’œuvres récentes et inédites développe une problématique qui aborde, entre autres, les notions antinomiques de symétrie et d’asymétrie présentes simultanément sur une structure monolithique tridimensionnelle. De plus, la relation forme/surface occasionnée par cette occurrence modifie radicalement la perception, la lecture visuelle de l’image matérielle. L’excentricité picturale de la paroi extérieure accentue l’indépendance formelle de celle-ci ainsi que la singularité et la complexité de l’intervention. On pourrait conclure qu’il s’agit ici non seulement de deux formes quasi identiques et superposées, mais également de deux réalités artistiques non reliées. Le tronc de l’objet est résolument cylindrique, mais c’est la surface, le tégument, et les appendices latéraux qui transforment absolument son eurythmie.
La configuration architectonique basique de chaque sculpture est celle d’un vase hétérodoxe composite érigé de sections disparates. Il ne faut pas non plus oublier lors de l’analyse les références stylistiques divergentes entre le minimalisme et le baroque, les beaux-arts et l’art décoratif, l’objet fait main et celui trouvé, qui ajoutent à la complexité conceptuelle de l’œuvre résultant finalement en une aporie plastique.

Depuis son exposition individuelleFlashbacks tenue en mars 2015 à la Galerie Luz, les œuvres de Foulem ont été présentées entre autres dans cinq institutions muséales, dont deux au Canada, le Musée McCord et le Musée des maîtres et artisans du Québec à Montréal, et trois aux États-Unis, le Bellevue Arts Museum, Bellevue, Washington, The Dinnerware Museum, Ann Arbor, Michigan, et le Racine Art Museum, Racine, Wisconsin.
 Source: cfile , Galerie Luz

mercredi 16 mars 2016

Marie-Ève Martel - Lieux de connaissance














Lieux de connaissance
Marie-Eve MARTEL
12 Mars 2016 — 22 Mai 2016

« Lieux de connaissance ou connaissance du lieu ? L’espace de la nature et celui de la culture s’entrecroisent au sein de l’installation de Marie-Eve Martel qui met en contrepoint deux constructions symboliques : la mythique cabane du philosophe et poète Thoreau où il écrivit Walden où la vie dans les bois et la bibliothèque Beinecke Rare Book and Manuscript Library de l'Université Yale. Deux perspectives cohabitent et se rencontrent le temps d’une mise en scène. D’une part, il y a la vue imaginaire de l’intérieur de la cabane de Thoreau que réinvente Martel dans une série pénétrante de grands tableaux. Chacun d’eux creuse plus à fond la mise en abîme de la nature même de l’être : « explore-toi toi-même » comme l’écrivait Thoreau. De l’autre, il y a la reconstruction de la bibliothèque qui laisse voir à travers un infime oculus les rayons vertigineux du savoir livresque. À la charnière du visible et de l’invisible, du lisible et de l’indicible, l’exposition de Martel revient en fait sur les rapports essentiels entre bâtir, habiter et penser tout en questionnant notre manière d’être. »
Manon Régimbald